L’ENFANT ET LES SORTILEGES RAVEL /COLETTE

Direction musicale: Martyn Brabbins
Scénographie: Gérard Didier

Costumes: Agostino Cavalca
Lumières: Jean-Luc Chanonat

Orchestre Philarmonique de Montpellier
Choeur des Opéras de Montpellier

Opéra National de Montpellier

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GENERIQUE

Musique de Maurice Ravel
Livret: Colette

Mise en scène: Yaël Bacry
Scénographie: Gérard Didier –  Costumes: Agostino Cavalca Lumières: Jean-Luc Chanonat

Interprètes: 
Ethel Guéret (l’enfant), Joane Bellavance (le feu, la princesse, le rossignol), Ivan Matiakh (le petit vieillard, la théière, la rainette), Elodie Méchain (Maman, la tasse chinoise, la libellule), Mireille Dufour (La chatte, l’écureuil), Svetlana Lifar (un pâtre), Christine Rigaud (une pastoure, la chauve-souris), Laurence François (la bergère, la chouette), Gilles Hubert (l’horloge comtoise, le chat), René Laryea (le fauteuil, l’arbre)

Orchestre Philharmonique de Montpellier Languedoc-Roussillon, Choeurs des Opéras de Montpellier, Martyn Brabbins (direction)

Opéra National de Montpellier. 1998

PRESSE

« L’Enfant et les sortilèges, est touché par la grâce. (…) La distribution vocale est homogène et de grande tenue, et les chanteurs se révèlent être d’excellents comédiens, sous la direction de Yaël Bacry : chaque personnage existe par une gestuelle juste et économe, et par les splendides costumes d’Agostino Cavalca. La mise en scène est irréprochable, d’une intelligence et d’une beauté totales, qui souligne avec tendresse l’inquiétante étrangeté de cet opéra, à l’atmosphère souvent oppressante. Il faudrait pouvoir décrire cette mise en scène d’un onirisme tout victorien, et qui fait mouche sans débauche de moyens : le jardin est dans une ambiance grise très lumineuse, qui correspond parfaitement à la musique et à l’état d’esprit de l’enfant, avec un bestiaire impressionnant, et un personnage d' »arbre » vraiment touchant. La scène du feu est tout simplement sublime : un drap qui ondule dans le fond de la scène, éclairé de couleurs rouges sombres, quelques « projections » de feu. C’est simple et cela suffit : la magie est là. Nul doute que l’on se souviendra longtemps de cette très belle production.« 

Stéphan Vincent-Lancrin Concerto net